Mon coup de cœur musique de la semaine, c’est Francis Cabrel ! En fait, c’est un coup de cœur vieux de 40 ans ! Comme le nombre d’années de carrière qu’il fête cette semaine en proposant tous ses albums sur les plateformes musicales.
L’occasion pour moi de réécouter ses chansons qui ont bercé ma jeunesse (que dis-je mon enfance même).
L’occasion de vous faire découvrir (ou redécouvrir) certains morceaux choisis, textes qui n’ont pas besoin de musique pour être magnifiques :
Elle dort
Elle danse sur des parquets immenses
Aussi luisants qu’un lac
Confuse dans les vents qui s’amusent
A sa robe qui claque
Ondulant comme une flamme
Ballerine
Elle balance sans effort
Elle rentrera par le grand escalier
Qu’elle adore
Elle court
Par les ruelles autour
Dans les rires et les flaques
Légère
Par dessus les barrière
Et les grilles des parcs
Ondulant comme une flamme
Elle s’envole au bras d’un conquistador
Sur la chaise mobile
Où lourdement pèse son corps
Elle dort
Aussi luisants qu’un lac
Confuse dans les vents qui s’amusent
A sa robe qui claque
Ondulant comme une flamme
Ballerine
Elle balance sans effort
Elle rentrera par le grand escalier
Qu’elle adore
Elle court
Par les ruelles autour
Dans les rires et les flaques
Légère
Par dessus les barrière
Et les grilles des parcs
Ondulant comme une flamme
Elle s’envole au bras d’un conquistador
Sur la chaise mobile
Où lourdement pèse son corps
Elle dort
Je te suivrai
Même quand tu auras fermé ta centaine de portes
Même quand tu auras pleuré pour les enfants d’un autre
Même quand tu auras éteint ce qui brûlait le mieux
Même si tu pars plus loin que ne portent mes yeux
Où tu iras je te suivrai
Je te suivrai…
Même quand tu auras pleuré pour les enfants d’un autre
Même quand tu auras éteint ce qui brûlait le mieux
Même si tu pars plus loin que ne portent mes yeux
Où tu iras je te suivrai
Je te suivrai…
Le monde est sourd
Chercheur contre nature
Truqueur, sur l’honneur qui jure
Faut pas que ça vous inquiète
J’ai bien connu l’animal mort dans votre assiette
Sale temps sur la planète
Oh le drôle, le drôle de temps
Porter secours c’est défendu
Le monde autour est sourd, bien entendu
Truqueur, sur l’honneur qui jure
Faut pas que ça vous inquiète
J’ai bien connu l’animal mort dans votre assiette
Sale temps sur la planète
Oh le drôle, le drôle de temps
Porter secours c’est défendu
Le monde autour est sourd, bien entendu
Un samedi soir sur la terre
Ils se parlent, ils se frôlent, ils savent bien
Qu’il va falloir qu’ils sortent
Ils sont obligés de se toucher
Tellement la musique est forte
Après, c’est juste une aventure
Qui commence sur le siège arrière d’une voiture
Il voit les ombres bleues
Que le désir dessine
À son front de figurine
Pas la peine que je précise
D’où ils viennent et ce qu’ils se disent
C’est une histoire d’enfant
Une histoire ordinaire
On est tout simplement, simplement
Un samedi soir sur la terre
Qu’il va falloir qu’ils sortent
Ils sont obligés de se toucher
Tellement la musique est forte
Après, c’est juste une aventure
Qui commence sur le siège arrière d’une voiture
Il voit les ombres bleues
Que le désir dessine
À son front de figurine
Pas la peine que je précise
D’où ils viennent et ce qu’ils se disent
C’est une histoire d’enfant
Une histoire ordinaire
On est tout simplement, simplement
Un samedi soir sur la terre
La fille qui m’accompagne
Au fond de son jeu de miroirs
Elle a emprisonné mon image
Et même quand je suis loin le soir
Elle pose ses mains sur mon visage
J’ai brûlé tous mes vieux souvenirs
Depuis qu’elle a mon cœur en point de mire
Et je garde mes nouvelles images
Pour la fille avec qui je voyage
Elle a emprisonné mon image
Et même quand je suis loin le soir
Elle pose ses mains sur mon visage
J’ai brûlé tous mes vieux souvenirs
Depuis qu’elle a mon cœur en point de mire
Et je garde mes nouvelles images
Pour la fille avec qui je voyage